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Depuis quelque temps, la friteuse à air gagne énormément en popularité. Elle permet de préparer des plats principaux, accompagnements, entrées, desserts ou collations de style frit, mais sans huile (ou presque). Personnellement, j’adore essayer des recettes dont le croustillant rappelle celui que procure la friture dans l’huile… mais sans tous les désagréments (odeurs, graisse et cie!) de ce mode de cuisson. Aujourd’hui, je partage avec vous quelques conseils sur la façon d’utiliser votre friteuse à air ainsi qu’une recette de Pâques décadente. Laissez-moi vous montrer comment j’ai préparé ces beignets légers et croustillants trempés dans le chocolat à l’aide d’une friteuse à air!

Qu’est-ce qu’une friteuse à air?

Se glissant sur le comptoir au moment souhaité, la friteuse à air est un petit four à convection qui produit un air très chaud. Ces hautes températures permettent de donner du croustillant et du croquant aux aliments à la manière d’une friture dans l’huile, sans toutefois devoir ajouter de l’huile (ou très peu, selon ses goûts). De nombreuses marques offrent ce type d’appareil, dont les prix varient beaucoup. Vous trouverez des modèles à partir de 70 $, et d’autres jusqu’à 600 $! Peu importe la friteuse à air que vous utilisez, les principes de cuisson restent les mêmes, tout comme les trucs qui vous aideront à obtenir les meilleurs résultats. En voici quelques-uns.
  1. Placez la friteuse sur une surface droite et résistante à la chaleur. Prévoyez aussi quelques centimètres d’espace entre l’appareil et le mur afin que l’air puisse s’échapper par l’évacuateur prévu à cet effet.
  2. Préchauffez votre friteuse avant d’ajouter les aliments dans le panier. Il suffit de la régler à la température souhaitée et de régler le minuteur à 2 ou 3 minutes. Une fois qu’il aura émis un bip, vous serez prêt à placer vos aliments dans le panier et à régler le minuteur selon la durée de cuisson. Cela favorisera une cuisson uniforme.
  3. Badigeonnez un peu d’huile sur vos aliments ou, si possible, utilisez une huile en aérosol. Vous pouvez omettre cette étape, mais vous n’obtiendrez peut-être pas la croustillance désirée. Il est préférable d’utiliser un vaporisateur dans lequel vous ajoutez votre propre huile, car certaines huiles en aérosol du commerce contiennent des agents qui peuvent détériorer la surface antiadhésive de votre friteuse.

Conseils pour préparer des beignets dans la friteuse à air

Commencez par préparer la pâte levée. Activez d’abord la levure en la saupoudrant sur du lait de soja tiède, en ajoutant un peu de sucre de canne et en remuant doucement avec une fourchette. Ensuite, laissez le mélange reposer pendant une dizaine de minutes. Il doit être mousseux et sentir la levure. Si rien ne se produit après 15 minutes, c’est probablement parce que votre levure n’est plus active (donc trop vieille) ou encore parce que votre lait était trop chaud. Cette étape est très importante, car elle déterminera si votre pâte lèvera ou non. Après vous être assuré que votre levure est bien active, ajoutez les autres ingrédients de la pâte et pétrissez-la à l’aide d’un batteur sur socle ou à la main jusqu’à ce qu’elle soit élastique et lisse et qu’elle se détache des parois du bol, soit environ 5 minutes. Huilez un bol et transférez-y la pâte. Il est possible qu’elle soit un peu collante. Faites rouler doucement la boule de pâte dans le bol pour qu’elle s’enrobe d’huile. Couvrez le bol d’un linge humide et placez-le dans un endroit chaud, sans courant d’air, et laissez la pâte lever jusqu’à ce qu’elle ait doublé de volume. Testez la pâte en y faisant un creux avec le bout de votre doigt. Si le creux reste, votre pâte est prête. Ces beignets au chocolat faits maison s’envoleront rapidement. Meilleurs que ceux au four et moins gras que ceux frits!

Recette végétalienne de beignets trempés dans le chocolat

Donne une douzaine de beignets Temps total : 2 h 30 min Ingrédients
  • 1 ¼ tasse de lait végétalien à température pièce
  • 1 ½ c. à thé de levure sèche active
  • ¼ tasse de sucre de coco + 1 c. à thé, divisés
  • ½ tasse de beurre végétalien
  • ½ c. à thé de sel
  • 4 tasses de farine tout usage non blanchie
  • Huile d’avocat pour vaporiser sur les beignets avant la cuisson
  1. Fouettez le lait, la levure et 1 c. à café de sucre ensemble dans un petit bol ou une tasse à mesurer. Mettez de côté pendant 10 minutes, jusqu’à ce que le mélange devienne mousseux.
  2. Dans un bol moyen, à l’aide d’un batteur électrique, battez le beurre et le reste du sucre à haute vitesse pendant 1 minute ou jusqu’à ce qu’ils soient crémeux. Ajoutez ensuite la vanille et le sel.
  3. Incorporez lentement le mélange de levure, une petite quantité à la fois, tout en mélangeant à faible vitesse.
  4. Ajoutez la farine par cuillerées pour éviter les éclaboussures. Utilisez une cuillère de bois lorsque la pâte devient trop dure pour être mélangée avec un batteur électrique.
  5. Continuez à ajouter de la farine jusqu’à ce qu’une boule de pâte souple se forme.
  6. Transférez la pâte sur une surface légèrement enfarinée et pétrissez-la pendant 5 minutes.
  7. Mettez la pâte dans un bol et placez-le dans un endroit chaud, avec un torchon humide dessus, et faites lever la pâte pendant environ une heure, jusqu’à ce qu’elle double de volume.
  8. Donnez un coup de poing dans la pâte et abaissez-la à l’aide d’un rouleau sur une surface enfarinée jusqu’à ce qu’elle ait une épaisseur d’environ ½ pouce.
  9. Utilisez une tasse ou un emporte-pièce de forme ronde pour faire vos beignets. De mon côté, j’utilise plutôt un verre à boire ainsi qu’un verre à shooter pour faire les trous dans les beignets.
  10. Transférez les beignets sur un papier sulfurisé et recouvrez-les d’une serviette humide avant de les placer dans un endroit chaud pendant une heure pour les faire lever.
  11. Préchauffez votre friteuse à air à 350 oF (ce qui prendra environ 3 minutes).
  12. Mettez 2 beignets dans le panier de la friteuse et vaporisez-les d’un peu d’huile. Faites-les cuire durant 5 minutes.

Pour le glaçage au chocolat

  • 1 tasse de pépites de chocolat végétaliens
  • ⅓ tasse d’huile de noix de coco
  • 1 cuillère à café de sirop d’érable
Dans un bain-marie, faites fondre tous les ingrédients et mélangez. Aussi simple que ça! Trempez les beignets cuits dans le mélange et mettez-les sur une grille pour que le glaçage prenne. Si vous voulez ajouter des bonbons, des paillettes comestibles et des sucres décoratifs, c’est le moment de s’adonner à un peu de créativité pendant que le chocolat est encore collant.

Par Allergies Québec

En cuisine, la chimie joue un rôle primordial. Que ce soit lors de la réaction au contact de certains ingrédients, la transformation de molécules sous l’effet de la chaleur ou la chimie des saveurs, les exemples impliquant ce principe sont nombreux. Cela s’applique particulièrement en pâtisserie alors que chaque ingrédient joue un rôle précis et qu’un simple « débalancement » d’ingrédients traditionnels peut mener à un résultat décevant. Comment réussir la confection de desserts lorsqu’on vit avec une ou plusieurs allergies alimentaires et qu’on doit remplacer des ingrédients clés d’une recette? Voici un petit guide pratique qui vous aidera à y parvenir! Le rôle des allergènes prioritaires en pâtisserie Des allergènes prioritaires se retrouvent au cœur de multiples recettes de pâtisserie et y jouent un rôle bien précis. Prenons par exemple le blé, dont la farine est utilisée pour épaissir les crèmes desserts, comme la crème pâtissière, ou pour donner de la structure aux gâteaux. Le lait, de son côté, fournit de l’eau aux préparations à gâteaux afin de faire cuire l’amidon, alors que le beurre sert à retenir les bulles d’air lorsqu’il est battu avec le sucre en début de préparation. Finalement, les œufs contribuent aussi à la structure d’un gâteau, à son goût, et favorisent l’obtention d’une couleur ambrée. Sans oublier qu’ils permettent aux crèmes desserts d’épaissir grâce à la coagulation des protéines. Ingrédients de substitution pour ces allergènes Farine de blé : farine de sarrasin, de pois chiches, de riz blanc, de tapioca, de maïs ou de pommes de terre. Comme elles ne contiennent pas de gluten, le résultat sera différent des produits préparés avec de la farine de blé. Un mélange de farines sans gluten donne habituellement les meilleurs résultats. * Astuce : N’oubliez pas de toujours aérer votre farine en la brassant avec une cuillère avant de la déposer dans la tasse à mesurer, puis de l’égaliser avec une lame de couteau. Cela vous permettra d’obtenir une quantité plus précise. Lait et crème : Plusieurs boissons végétales offertes sur le marché remplacent habituellement très bien le lait de vache dans les préparations. Pour remplacer la crème, on peut utiliser une crème végétale ou du lait de coco en conserve. Beurre : huile de coco, margarine végétale sans allergènes, huile végétale, saindoux (goût plus prononcé). Œuf : Différentes options s’offrent à vous pour remplacer les œufs dans des recettes de pâtisserie. – Graine de lin :
  • On peut incorporer 15 ml de graines de lin moulues dans 45 ml d’eau, en laissant reposer quelques minutes avant d’utiliser en remplacement d’un œuf.
  • Il est aussi possible de préparer un gel de graines de lin.
– Substitut d’œuf commercial : offert en poudre, à mélanger avec de l’eau selon les directives indiquées sur l’emballage. – Purée de fruits : une quantité de 60 ml peut remplacer un œuf dans une recette. – Aquafaba : obtenu en récupérant le liquide qui se trouve dans les conserves de pois chiches, utilisée telle quelle ou montée en neige. On remplace un œuf entier par 45 ml d’aquafaba, ou un blanc d’œuf, par 30 ml. * Astuce : On opte pour des recettes de pâtisserie qui demandent un maximum de 2 ou 3 œufs, puisqu’il est difficile de remplacer les œufs dans une recette qui en demande plus. Remplacer les allergènes dans des recettes types Ganache au chocolat : En remplacement de la crème à fouetter, on utilise une crème de riz ou de soya pour cuisson, qu’on porte à ébullition avant de la verser sur du chocolat haché (sans allergènes). Après 1 ou 2 minutes de repos, on peut fouetter la préparation jusqu’à ce qu’elle devienne lisse, luisante et onctueuse. Gâteau blanc de type génoise : Pour remplacer les œufs qui sont moussés et qui permettent d’incorporer un maximum de bulles d’air, on peut utiliser l’aquafaba monté en neige avec le sucre. On substitue ensuite la farine de blé à un mélange sans blé de base (4 ½ tasses de farine de riz blanc + 1 ½ tasse de fécule de pomme de terre + ¾ tasse de farine de tapioca). Et pour remplacer le beurre, on opte pour une margarine végétale sans allergènes. Crèmes desserts (crème anglaise et crème pâtissière) : Elles sont habituellement préparées avec du lait ou de la crème, des œufs et du sucre. On peut remplacer le lait ou la crème par une boisson végétale permise ou une crème végétale. Pour remplacer les jaunes d’œufs, on opte pour un ingrédient épaississant comme de la fécule de maïs, de l’agar-agar, de l’arrow-root ou de la gomme de xanthane. La crème pâtissière est très semblable à la crème anglaise : elle est simplement plus épaisse. On utilise généralement la moitié du liquide pour préparer cette dernière afin d’obtenir la texture recherchée. Pour un goût exquis, aromatiser avec une gousse de vanille fraîche. Crème montée : Pour une crème montée onctueuse, on utilise du lait de coco ordinaire en conserve. On place tout d’abord la conserve au réfrigérateur un minimum de 6 heures afin que la crème et l’eau se séparent dans la conserve. On utilisera seulement la portion « crème » à l’ouverture. Il suffit de battre le lait de coco et d’ajouter, au goût, un peu de sirop d’érable ou autre ingrédient sucrant ainsi que de la vanille. Meringue : L’aquafaba est parfait pour préparer des meringues sans œufs. On le monte tout simplement en neige avec le sucre, puis on utilise une poche à pâtisserie munie d’une douille unie pour former les meringues, avant de faire cuire au four.   Allergies Quebec Tel aliment est bourré d’antioxydants. Un autre devrait être mangé avec parcimonie. Il n’y a pas à dire, la nutrition est un domaine qui regorge d’idées préconçues. Qu’à cela ne tienne! On démêle le vrai du faux au travers d’un jeu-questionnaire ludique. Notez vos réponses et découvrez les solutions et les explications plus bas. Testez vos connaissances!

Par l’équipe de Science & Fourchette

Quiz nutrition

  1. Manger des carottes est bon pour la vision. VRAI ou FAUX
  2. Les œufs font augmenter le cholestérol sanguin. VRAI ou FAUX
  3. Quand on est végétalien, il faut combiner deux sources de protéines végétales lors d’un repas pour assurer la complémentarité. VRAI ou FAUX
  4. La cuisson diminue la valeur nutritive des légumes. VRAI ou FAUX
  5. Le sel ajouté à la table est la principale source de sodium dans notre alimentation. VRAI ou FAUX
  6. Le beurre est meilleur que la margarine.’ VRAI ou FAUX

Réponses

1. VRAI Les carottes sont riches en bêta-carotène, un précurseur de la vitamine A. La vitamine A joue un rôle important dans la vision au niveau des cellules de la rétine. Elle participe au processus qui envoie un influx nerveux au cerveau en réponse à la lumière qui pénètre l’œil. Et il n’y a pas que la carotte qui est riche en bêta-carotène! Tous les légumes jaunes ou orangés (patate douce, courge d’hiver, citrouille, poivron rouge) ainsi que certains légumes verts et feuillus (épinard, chou vert, laitue, bok choy) sont de bons choix! 2. FAUX Il faut comprendre une chose : le cholestérol provenant des aliments n’a qu’une faible influence sur le cholestérol dans le sang. Ce sont plutôt les aliments riches en gras saturés et gras trans – comme la viande et les produits laitiers riches en matières grasses – qui vont faire augmenter notre cholestérol. Lorsqu’il y a trop de cholestérol dans le sang, on voit apparaître des dépôts de cholestérol sur les parois de nos artères. C’est ce qu’on appelle de l’artériosclérose. Alors, si on est en bonne santé, il n’y a absolument aucune raison de ne pas consommer d’œufs! 3. FAUX Nul besoin de se casser la tête avec la complémentarité des protéines! C’est un vieux mythe qui a la vie dure. Puisqu’on mange plus d’un aliment par jour, on le fait d’emblée sans même avoir à y penser. On ne devrait pas avoir besoin de calculer. On n’a qu’à ne pas oublier que la variété mène à la santé! 4. VRAI… mais pas tant que ça! Plusieurs nutriments contenus dans les légumes sont sensibles à la chaleur et certains sont hydrosolubles, c’est-à-dire qu’ils sont facilement perdus dans l’eau de cuisson. Donc, la cuisson peut en théorie diminuer la valeur nutritive des légumes. Toutefois, ce n’est pas une raison pour ne pas en manger, puisqu’il reste encore beaucoup de nutriments! Certaines méthodes semblent meilleures pour limiter la perte de nutriments. Celles-ci sont la cuisson au four à micro-ondes, au four, en sautés ou vapeur. Manger ses légumes crus est aussi très bon! 5. FAUX Plus de 75 % de notre apport quotidien en sodium provient des aliments transformés, comme les soupes en conserves, les charcuteries, les aliments déshydratés, séchés et fumés, les craquelins, les croustilles, les biscuits et muffins commerciaux, le pain, les repas prêts à manger, etc. Pour réduire sa consommation de sel, il vaut mieux privilégier les aliments frais et cuisiner à partir d’ingrédients de base. Et on remplace une partie du sel par des épices et des fines herbes. 6. VRAI ET FAUX Comparer le beurre à la margarine, c’est comme comparer une poire avec une orange. Cela dépend de nos goûts, de l’usage qu’on en fait, de notre mode d’alimentation, de notre santé et de la quantité consommée. Le beurre et la margarine sont tous deux des matières grasses. Ils ont la même quantité de gras et de calories. Toutefois, le beurre est un ingrédient de base d’origine animale, tandis que la margarine est un aliment transformé d’origine végétale. Cela dit, cette question est un bon exemple de toutes les interprétations possibles de nos choix alimentaires. Le meilleur choix pour nous, ce n’est peut-être pas le même que celui de notre voisin!

Par Science & Fourchette

Essentiels en cuisine, les épices, les herbes, les condiments et les sauces relevées ont le pouvoir de rehausser facilement un plat qui manque de punch. À l’image d’un chef d’orchestre, ils apportent de la complexité à nos plats et nous font voyager à peu de frais. Expérimenter les épices l’hiver, c’est le moment tout désigné! Non seulement on a souvent plus de temps devant soi pour cuisiner, mais on apprécie également la chaleur et le réconfort qu’elles vont nous procurer. Voici tout ce qu’on doit savoir avant de se lancer dans cette belle aventure.

Les épices

Les épices sont issues de différentes parties de plantes. Cela peut être l’écorce, la fleur, le fruit, le rhizome ou la graine. Par exemple, les bâtons de cannelle proviennent de l’écorce interne du cannelier. Le gingembre et le curcuma, eux, sont des rhizomes (des tiges souterraines) qu’on va râper ou qu’on va utiliser sous une forme séchée. Puisque les épices sont très aromatiques, piquantes ou parfumées, seule une petite quantité suffit pour rehausser nos plats favoris. Les épices sont généralement vendues entières ou moulues, sèches. De préférence, on choisit des épices entières et biologiques, puisqu’elles vont conserver plus longtemps leur plein potentiel aromatique. Lorsqu’on veut les utiliser, on n’a qu’à moudre nos épices dans un mortier ou dans un petit moulin à café. Les épices entières ou moulues (et les herbes séchées) peuvent se conserver plusieurs mois (en moyenne de 3 à 24 mois), à condition de les entreposer dans des contenants hermétiques qu’on rangera dans un endroit sec, sombre et à l’abri de la chaleur. Il est à noter que les épices et les herbes séchées ne périment pas. Elles ne seront donc jamais impropres à la consommation… mais elles risquent de manquer de goût! 10 épices utiles et polyvalentes à toujours avoir sous la main Des grains de poivre entiers, des piments (cayenne, paprika), des clous de girofle, de la cannelle, de la vanille, des graines de fenouil, du gingembre en poudre, des graines de cumin et de coriandre ainsi que du sel.
Spices

Les herbes aromatiques

On confond souvent les herbes aromatiques avec les épices. C’est normal, nos fameuses fines herbes ont une utilité quasi similaire. Puisqu’elles sont plus douces, elles sont souvent bonifiées lorsqu’on les ajoute à des plats mijotés. À l’achat, on choisit des herbes qui ont une couleur vibrante. On s’assure aussi de les transférer dans des contenants hermétiques une fois rendus à la maison (par exemple, les pots Mason de 125 ml sont parfaits pour ça), puisqu’elles perdent plus rapidement de leur fragrance. 5 herbes aromatiques utiles et polyvalentes à toujours avoir sous la main Du basilic, de l’origan, du thym, du persil et des feuilles de laurier. Encadré La règle d’or pour remplacer les herbes fraîches par des herbes séchées est de diminuer la quantité de deux tiers (2/3). Par exemple, si on désire remplacer 1 c. à soupe (15 ml ) d’origan frais, on le substitut à 1 c. à thé (5 ml) d’origan séché. Les mélanges qui nous sauvent la vie (et du temps) Les mélanges d’épices (exemples : curry, chili, raz-el-hanout, 5 épices, épices de la Jamaïque, etc.) s’achètent déjà mélangés et moulus. Il n’est donc pas nécessaire de les faire nous-mêmes, ce qui nous fait gagner du temps. Il est bon d’en avoir quelques-uns sous la main, puisque certains sont des assemblages judicieux qui ont du punch. Dans nos mélanges préférés offerts chez Rachelle Béry, on peut trouver les mélanges à poisson et du boucher de la marque Joe Beef, le mélange citron et aneth Stockholm de Kanel et le mélange Route de la soie d’Épices de cru.

Les sauces et les condiments

Les condiments sont des mélanges d’épices, d’aromates ou d’herbes avec d’autres denrées comme des légumes, du bouillon ou autre. Les condiments sont utilisés au même titre que les épices, c’est-à-dire pour assaisonner et rehausser le goût des mets. Ils comprennent la moutarde, le ketchup, les sauces (piquantes, barbecues, Worcestershire, etc.) et les herbes salées. Dans nos favoris chez Rachelle Béry, on trouve la pâte de piment harissa de la marque Mina, la sauce barbecue fumée de Bio bandits organique et la sauce Peri-Peri de Nandi’s.
Sauces and condiments

Trop ou pas assez

Quand on commence à cuisiner avec les épices, les condiments et les sauces relevées, on se pose souvent les mêmes questions : est-ce qu’on doit les ajouter au début ou à la fin de la préparation? Est-ce qu’il y a un risque de trop en mettre et de rater notre souper? Cela dépend! Il est préférable d’ajouter les épices entières au début de la cuisson. À ce moment, les plats qui mijotent sur une longue période vont développer leurs saveurs lentement. Lorsque les épices sont moulues, il est préférable de les ajouter lorsque le plat cuit rapidement ou juste avant le service. Quand on cuisine avec des épices, il faut s’amuser et expérimenter! On commence par en mettre une petite dose dans notre plat, on y goûte et on ajuste l’assaisonnement au besoin. Mieux vaut en ajouter graduellement pour trouver notre juste milieu. La culture des régimes en laisse plus d’un perplexe. Entre détox ou autres restrictions alimentaires, il peut être difficile de s’y retrouver! L’alimentation intuitive est-elle la solution?

Qu’est-ce que l’alimentation intuitive?

Perdre des kilos, succomber à des rages alimentaires, puis tout reprendre au bout de quelques semaines ou quelques mois : qui n’est pas déjà tombé dans le cercle vicieux des régimes? En plus de nuire à la santé et au moral, ils entravent souvent les efforts pour perdre du poids. Cet engrenage infernal, deux nutritionnistes américaines l’ont exposé dans leur livre paru en 1995 sur les principes de l’alimentation intuitive. L’approche, élaborée par Evelyn Tribole et Elyse Resch, vise à réguler le poids corporel à long terme en adoptant un comportement bienveillant face à l’alimentation et en évacuant toute notion culpabilisante associée à la nourriture. Elles préconisent d’écouter les signaux physiologiques de satiété et ses émotions plutôt que d’obéir aux diktats d’un régime. Ce principe a été traduit par la nutritionniste Karine Gravel dans son livre De la culture des diètes à l’alimentation intuitive. Si l’experte ne promet pas une perte de poids, l’alimentation intuitive y contribuerait toutefois, en nous amenant à nous questionner sur les raisons qui nous poussent à manger au-delà de la sensation de satiété.

À qui cela s’adresse-t-il?

L’alimentation intuitive s’adresse à tous ceux et celles qui ont tenté de perdre du poids à l’aide d’un régime amaigrissant ou qui ont développé une relation toxique avec les aliments. Dans son livre, Karine Gravel estime que près de la moitié (45 %) des Québécoises font au moins deux tentatives de perte de poids par année, tandis que la vaste majorité reprend tout le poids perdu dans les mois ou années suivant un régime. Si les femmes sont particulièrement sensibles au chant des sirènes de la culture des régimes, les hommes n’en sont pas épargnés pour autant. Ils sont de plus en plus nombreux à adopter des comportements malsains envers la nourriture. Certains choisissent de sauter des repas, d’autres privilégient un entraînement excessif afin de compenser l’ingestion de toute calorie excédentaire.

Pourquoi l’adopter?

L’alimentation intuitive est suggérée par de nombreux nutritionnistes comme solution de rechange aux régimes traditionnels puisqu’elle encourage l’écoute du corps. Elle réduirait ainsi les risques de perte de contrôle et de surconsommation. Limiter les compulsions alimentaires permet d’abaisser la pression sanguine et le taux de cholestérol sanguin, en plus de favoriser un meilleur équilibre mental. Les personnes qui embrassent ce mode d’alimentation se sentent généralement libérées de leur obsession pour la nourriture, car elles cessent de compter les calories. L’alimentation intuitive évite aussi les conséquences indésirables associées aux régimes restrictifs, comme l’effet yo-yo. Ce phénomène se produit à la suite d’une perte de poids rapide, qui entraîne inévitablement une reprise de poids tout aussi fulgurante. En favorisant une image corporelle positive, l’alimentation intuitive améliore également l’estime de soi et la qualité de vie.

Comment y arriver?

Il est recommandé de vous faire accompagner d’un nutritionniste si vous voulez suivre ce mode de vie alimentaire, mais rien ne vous empêche de vous en inspirer au quotidien. Voici quelques conseils à suivre pour développer une relation plus sereine avec les aliments.

Évitez d’étiqueter les aliments

Selon l’un des principes de l’alimentation intuitive, il faut changer notre perception face à certains aliments, qu’elle soit positive ou négative. Mangez donc ce dont vous avez envie et restez à l’affût de la sensation de satiété.

Prenez une vraie pause repas

Il est également conseillé de s’accorder un moment pour manger à table, en savourant son plat et concentrant son attention sur chaque bouchée. Cette technique permet de connecter son corps à la nourriture afin de capter les signaux qu’il nous envoie.

Interrogez-vous avant de manger

Certaines personnes éprouvent de la difficulté à distinguer la faim réelle du faux sentiment de faim créé par de vives émotions ou par le stress. Voilà pourquoi les experts recommandent de se questionner sur la raison qui nous pousse à vouloir manger. L’alimentation intuitive peut être déstabilisante pour les gens ayant appris à catégoriser les aliments ou à compter les calories. Avec de l’accompagnement et de la persévérance, vous en viendrez à faire la paix avec votre corps et à vous libérer de l’enfer des régimes. Les fêtes touchent à leur fin : alors que certains se désolent de retourner au travail ou à l’école, d’autres s’avouent soulagés de se voir libérés de cette période mouvementée et stressante qui, soyons francs, augmente la charge mentale. En tant que maman, j’ai en effet tendance à me mettre de la pression pour m’assurer d’avoir tous les cadeaux pour mes enfants et mes proches, pour me rendre disponible pour voir tout le monde et pour continuer à faire vivre nos traditions de Noël. En ce début d’année, nous devons donc décompresser et prendre soin de notre santé. Voici quelques trucs pour y arriver.

1. Essayez la relaxation

La relaxation peut vous aider à profiter d’une meilleure qualité de vie et vous amener à vivre le moment présent. Thérapeutique, celle-ci diminue les effets du stress sur votre esprit et votre corps. Un moyen simple de vous détendre consiste à utiliser à la fois l’imagerie visuelle et la conscience corporelle pour réduire le stress. Comme si vous imaginiez une vague de relaxation circulant autour de votre corps et sur chaque partie de celui-ci. Détendez chaque muscle et apportez un sentiment de paix dans votre esprit et votre corps. Allumer une bougie ou diffuser quelques huiles essentielles (comme de la lavande) peut aussi faire partie du moment de détente. Vous pouvez également répéter des mots ou des phrases dans votre esprit qui peuvent vous aider à vous détendre et à réduire la tension musculaire. Contribuant à une séance de relaxation réussie, les techniques de respiration sont souvent utilisées pour aider les gens à se détendre ou à gérer le stress. Dans les cours de yoga et même sur YouTube, par exemple, on enseigne notamment la respiration profonde, la respiration diaphragmatique et la respiration consciente, que je trouve très efficace.

2. Allez marcher

La marche vous permet de vous connecter avec la nature et vos pensées. Pas d’écrans, pas d’appels téléphoniques, pas de distractions. Respirez profondément, profitez de votre environnement et sentez cette connexion plus profonde se former entre vous, la nature et votre esprit.

3. Parlez

J’ai toujours envie de partager, de parler et de me connecter avec quelqu’un lorsque je me sens stressée; cela me soulage vraiment et apaise le stress que je pourrais porter. Souvent, nous ne sommes pas seuls à ressentir du stress ou à avoir le blues; savoir que ce sentiment est partagé suffit parfois à nous aider à le surmonter.

4. Privilégiez le sommeil

Si vous avez sacrifié un sommeil de qualité durant vos vacances pour assumer vos multiples responsabilités, il est maintenant temps de réinitialiser l’horloge et de revenir à un horaire de sommeil sain. Dormir entre 7 et 9 heures par nuit est ce qui est recommandé pour les adultes. Pour profiter d’un sommeil réparateur, l’établissement d’une routine de relaxation peut vous aider. Quelques trucs que j’aime particulièrement? M’abstenir d’écouter la télé ou de consulter mon téléphone au moins une heure avant de me mettre au lit, prendre un bain, lire quelques pages d’un livre, siroter une tisane à la camomille ou encore utiliser des remèdes naturels à base de plantes tels que Deep Sleep, d’A.Vogel.

5. Prenez le bon supplément pour vous

Pour aider le corps à revenir à la normale et à rester en bonne santé, il y a quelques suppléments que j’aime prioriser et ajouter à ma routine de bien-être.
  • Échinacée. Cette plante nord-américaine possède de nombreuses propriétés bénéfiques pour la santé humaine. On la trouve dans de nombreux suppléments combinés, et vous pouvez l’obtenir sous forme de comprimés ou de teinture, selon vos préférences. L’un de mes produits d’échinacée préféré est le spray pour la gorge d’A.Vogel, qui offre une protection contre les virus et les bactéries.
  • Curcuma. Cette herbe aide tout le corps. Son ingrédient actif, la curcumine, possède même des propriétés anticancéreuses. Après avoir mangé plus lourd et consommé de l’alcool, donnez un coup de pouce à votre foie : il pourrait bénéficier des composantes anti-inflammatoires du curcuma afin de mieux éliminer les toxines. J’aime prendre un shot quotidien de jus de curcuma ou un lait doré comme celui d’Organic Traditions (une poudre que vous mélangez avec le lait de votre choix et réchauffez).
  • Vitamine D. La vitamine D joue un rôle essentiel dans le fonctionnement du corps humain. Elle aide notamment ce dernier à absorber le calcium, essentiel à la santé des os, et assure le bon fonctionnement des systèmes immunitaire, musculaire et nerveux. Cependant, puisque le soleil d’hiver est moins puissant que celui d’été et que celui-ci est habituellement notre source principale de vitamine D, il peut être recommandé de se tourner vers la supplémentation durant cette période de l’année.
  • Thé à la menthe poivrée. Cette plante de jardin classique peut être utilisée pour plus qu’un simple assaisonnement. Certaines recherches suggèrent que l’arôme peut réduire les sentiments de frustration, d’anxiété et de fatigue.
En espérant que cette nouvelle année nous apporte tous de la joie, plus de santé et d’unité. Bonne année à vous!

Par Maude Carmel

Le temps des Fêtes, c’est le moment idéal de l’année pour se réunir en famille, mais aussi pour organiser des soupers entre amis! Alors que les soupers et dîners du 24 et du 25 décembre avec les oncles, les beaux-parents et les grands-parents ont souvent des airs traditionnels, les soirées d’échange de cadeaux avec nos amis peuvent quant à elles nous donner l’occasion d’essayer de nouveaux plats ou de réinventer la roue. Pour ma part, j’aime servir des plats végétaliens ou végétariens à mes invités, simplement parce que leur empreinte carbone est majoritairement plus faible, si on se fie aux statistiques sur l’élevage des animaux. Je tiens également compte du fait que la plupart de mes ami.es sont végétarien.nes ou essaient de diminuer leur consommation de viande, il est donc plus facile de servir de savoureux aliments à base de plantes! Même si cuisiner est un art qui me détend et stimule ma créativité, il m’arrive parfois de ne pas avoir le temps de concocter une entrée, un repas principal ET un dessert avant l’arrivée de mes convives. Je dois aussi avouer que peu de choses me rendent plus irritable que de gérer 3-4 ronds de poêle pendant que 12 personnes martèlent dans mes oreilles : « ON PEUT-TU T’AIDER?? ». Pour éviter tout ce stress, je me permets, parfois, d’acheter des mets préparés. Attention : mets préparés ou congelés ne rime pas nécessairement avec malbouffe ou mets faciles! Rachelle Béry regorge de plats cuisinés par des artisans et des chefs d’ici! En plus d’être divins, ils évitent le transport et, par le fait même, les émissions de gaz à effet de serre inutiles. Voici quelques idées pour un repas trois services 100 % local, avec des produits que vous pourrez facilement retrouver à votre Rachelle Béry de quartier!

Les bouchées et l’entrée

Difficile de faire des malheureux quand on offre du pain et du fromage à ses invités pour les faire patienter. Avec les baguettes 100 % bio et artisanales de l’entreprise À chacun son pain, vous saurez réconforter le cœur de chacun. Pourquoi ne pas les gratiner au four avec l’un des nombreux fromages d’ici? Prenez par exemple un petit fromage de la fromagerie Du champ à la meule, située à Notre-Dame-de-Lourdes, et faites-le fondre sur une baguette! Ajoutez une bruschetta maison faite de tomates de serres d’ici et servez le tout chaud à vos convives dans votre plus belle vaisselle!

Le repas principal

Avec la tourtière végane de La cuisine de Jean-Philippe, vous ne pouvez pas vous tromper. Elle est réellement bluffante! En collaboration avec la marque Vegeat, elle est fabriquée avec de la protéine de pois, du maïs, des pommes de terre et des oignons. Ce plat sans cruauté fait désormais partie de mes classiques des Fêtes!

Le dessert

Alors là, une multitude de choix s’offrent à vous. Mon dessert préféré, qui plaira à tout le monde à tout coup, est la bûche aux fraises des neiges de Croké. La particularité de cette entreprise d’ici est que leurs produits sont exempts d’allergènes. Fini les inquiétudes avec nos amis allergiques, puisque la bûche, en plus d’être végétalienne (donc sans œufs ni produits laitiers), est sans gluten, sans noix ni arachides, sans blé, sans soya et sans sulfites! Une autre de mes bûches coup de cœur est celle aux framboises et chocolat de La cuisine de Jean-Philippe! 100 % végétalienne, elle a ce petit air chic et raffiné qui saura impressionner votre tablée à coup sûr! Nous déployons beaucoup d’efforts pour enrayer le gaspillage alimentaire : pour être conséquents, pensons à cuisiner notre citrouille d’Halloween après les festivités. Fini, les citrouilles qui se retrouvent à la poubelle ou qui sont abandonnées à leur sort sur le balcon (ce ne sont pas les écureuils que nous voulons nourrir) ! Profitez donc du plein potentiel de ce fruit majestueux riche en nutriments qui fait des merveilles en cuisine. Découvrez nos trucs et astuces qui vous permettront de conserver la citrouille facilement ainsi qu’une foule de recettes réconfortantes d’automne la mettant en vedette ! Les citrouilles prennent les marchés d’assaut dès la fin septembre ou au début octobre pour tous vos régals d’automne !

Des techniques bien simples de conservation de la citrouille

Si vous pensez cuisiner votre citrouille, il est important de savoir comment repérer le fruit le plus frais. Choisissez-en une qui n’est pas trop grosse, qui est ferme au toucher, qui est lourde et qui possède une belle couleur orange uniforme, sans taches ni fissures. Inspectez aussi la tige : sa couleur verte et sa fermeté assurent sa fraîcheur. En ce qui a trait à la conservation, vous pouvez garder la citrouille plusieurs semaines dans un endroit frais et sec.

La ranger au frigo

Une fois découpée, placez-la au réfrigérateur; elle se conservera une semaine.

Congeler la citrouille

Pour faire des réserves pour l’année, vous pouvez soit couper la citrouille en cubes, puis entreposer ceux-ci au congélateur dans des sacs prévus à cet effet, ou encore la cuire (rôtie ou en purée), puis la congeler ou la mettre en conserve.

L’Halloween en mode zéro déchet

La citrouille ne devrait pas servir uniquement de décoration pour l’Halloween. Pour récupérer sa chair en cuisine une fois la fête terminée (soyons écolos), il est important de ne pas couper la citrouille au moment de la décorer. Oubliez donc les classiques citrouilles évidées avec une chandelle à l’intérieur ! C’est le moment d’impliquer les enfants et d’être créatif . Déguisez votre citrouille avec de petits accessoires, dessinez-y une toile d’araignée ou apposez des collants et des boutons pour lui donner un look d’enfer ! Vous pouvez également vous inspirer de différents modèles sur Pinterest, par exemple.

Des idées de recettes à base de citrouille

Avec tous ses bienfaits nutritionnels, sa texture fondante et son goût légèrement sucré, la citrouille s’invite parfaitement dans nos assiettes, et ce, de l’entrée au dessert. Voici quelques façons d’apprêter ce fruit vedette de l’automne et de profiter de tous ses antioxydants, vitamines et minéraux !

Purée de citrouille

Pour une purée vite fait, bien fait, coupez votre citrouille en deux et faites-la cuire sur une plaque au four. Retirez ensuite les graines (que vous conserverez pour un usage ultérieur) et grattez la chair. Déposez-la dans un robot culinaire et réduisez-la en purée. Polyvalente, cette purée pourra être utilisée pour concocter toutes sortes de collations saines comme des biscuits et des muffins à la citrouille. Les plus audacieux essayeront des raviolis maison farcis à la purée de citrouille !

Citrouille rôtie au four

Une fois votre citrouille tranchée en quartiers, versez un filet d’huile d’olive et saupoudrez des épices de votre choix comme de la cannelle, de la muscade, du gingembre moulu ou encore du piment de la Jamaïque, puis faites griller au four pour obtenir une belle caramélisation. Un accompagnement de choix pour vos viandes ou poissons! Pour une entrée originale, servez ces tranches de citrouille rôties avec du labneh ou autre fromage à pâte fraîche, une sauce aux herbes et quelques graines de citrouille grillées.

Utilisez vos cubes de citrouille

Si vous avez pensé à congeler des cubes de citrouille, vous serez heureux de les utiliser dans un risotto, simplement avec du vin blanc et du parmesan, dans vos caris de légumes racines, dans vos salades ou dans vos potages.

Citrouille râpée

Pas de carotte sous la main pour faire votre recette ? La chair crue et râpée de la citrouille remplace parfaitement les carottes et se glisse facilement dans vos desserts.

Comment couper la citrouille

Ne vous laissez pas impressionner par la taille imposante de la citrouille ! Voici les 4 étapes à suivre pour la découper en toute sécurité et pour en récupérer le maximum.
  1. Utiliser un bon couteau de chef pour couper la citrouille en deux.
  2. À l’aide d’une cuillère à soupe, retirer les filaments et les graines (réservez les graines et faites-les griller pour une délicieuse collation!).
  3. Trancher la citrouille en quartiers.
  4. Peler chaque tranche et couper la chair en cubes. Vous pouvez les garder au frigo ou les congeler pour une utilisation future.

Préparer des graines de citrouille au four

Une fois votre citrouille évidée, récupérez les graines et faites-les tremper dans l’eau environ une heure avant de les rincer, les sécher, puis les enrober d’huile et les saupoudrer de sel et/ou d’un mélange d’épices de votre choix (la poudre d’ail, le poivre noir et le poivre de Cayenne font un heureux mélange). Étendez-les sur une plaque et faites-les griller de 15 à 20 minutes à 375 º C. Surveillez-les pendant la cuisson pour éviter qu’elles ne brûlent. Laissez refroidir et dégustez ! Le Québec a la chance d’être un des plus grands producteurs de bleuets au monde. Au mois d’août, les bleuetières sont prêtes à accueillir les cueilleurs, et quelques régions privilégiées, dont le Saguenay–Lac-Saint-Jean, offrent le bleuet sauvage en abondance. En plus de leurs multiples bienfaits, découvrez comment congeler et sécher les bleuets pour en savourer toute l’année ainsi que quelques idées pour les intégrer à vos recettes.

Le bleuet : des bienfaits nombreux

Petit fruit sucré et légèrement acidulé, le bleuet regorge de bienfaits. De fait, avec la myrtille, le bleuet possède le plus grand pouvoir antioxydant parmi les petits fruits (comme la fraise, la framboise et la canneberge). Alliés de notre système immunitaire, alors qu’ils protègent notre corps contre les radicaux libres, les antioxydants sont reconnus pour diminuer les risques de développer divers cancers ainsi que plusieurs maladies chroniques telles que celles cardiovasculaires, l’hypertension et le diabète de type 2. Le bleuet aurait aussi un effet sur les troubles d’équilibre, de coordination et cognitifs attribuables au vieillissement. Ainsi, il pourrait freiner l’évolution de la maladie de Parkinson et d’Alzheimer. Plusieurs vitamines et minéraux que l’on trouve dans les autres fruits et légumes offrent également une protection antioxydante. Alors, ne vous gênez pas et consommez-en abondamment non seulement pour leurs multiples propriétés, mais aussi pour leur goût fabuleux.

Conservation : bleuet congelé ou bleuet séché?

Profitez de la profusion de nos petits fruits bleus d’ici pour en faire des réserves. Puisqu’ils flétrissent relativement rapidement (même au froid du réfrigérateur), pensez bleuets congelés! Déposez-les sur une plaque, placez-les au congélateur quelques heures et rangez-les dans des contenants ou des sacs prévus à cet effet; vous en aurez toujours sous la main pour vos recettes. Sinon, les bleuets séchés se conserveront plusieurs semaines, voire plusieurs mois, dans le garde-manger. Pour les déshydrater complètement, placez-les sur une plaque et enfournez-les à la plus basse température, tout en laissant la porte du four entrouverte. Laissez-les sécher quelques heures. Une fois complètement refroidis, rangez-les dans un contenant hermétique. Si vous avez un déshydrateur, c’est le temps de l’utiliser. Réglez sa température à 57 °C (135 °F) et placez-y vos bleuets. Les bleuets séchés peuvent remplacer les raisins secs dans les recettes.

Pour manger des bleuets frais durant plusieurs jours

Si vous souhaitez entreposer vos bleuets au réfrigérateur pour les manger frais, veillez à bien les trier afin de ne conserver que ceux qui sont fermes et dépourvus de meurtrissures. Pour ce faire, versez une certaine quantité de bleuets que vous avez récoltés sur un linge à vaisselle propre et étendez-les délicatement avec vos mains afin de retirer les feuilles, les fruits mous, mouillés ou écrasés et tout autre indésirable (comme les insectes). Vous pouvez également utiliser un couteau à beurre retourné à l’envers pour déplacer doucement les fruits sur le linge. Notez que, moins on manipule les bleuets, plus ils se conservent longtemps! Déposez-les ensuite dans un contenant en plastique hermétique avec une feuille de papier essuie-tout dans le fond et sur le dessus : celui-ci absorbera l’excès d’humidité qui pourrait détériorer les bleuets prématurément. Cette méthode vous permettra de déguster vos bleuets à la poignée environ deux semaines.

Le bleuet : des recettes à l’infini

Les bleuets peuvent être ajoutés à une multitude de plats. Lorsqu’ils sont cuits, leur goût sucré sera davantage prononcé.
  • Pour déjeuner, dans un bol de yogourt et granola garnis d’un filet de sirop d’érable ou encore dans un smoothie;
  • Dans des muffins ou des barres déjeuner;
  • En sucettes glacées;
  • En bouchées sucrées : pour ce faire, faites fondre du chocolat noir, enrobez les bleuets du chocolat fondu et déposez-les sur une plaque. Laissez durcir au réfrigérateur. Un délice qui sera dévoré rapidement.
  • Sans oublier la classique tarte aux bleuets! Voici une version cuite au barbecue. Idéale pour les journées chaudes, lors desquelles nous ne voulons pas utiliser le four.
Et si je vous disais que des dizaines de fruits et légumes achetés à l’épicerie peuvent être replantés dans le jardin, afin de pouvoir en profiter à nouveau? Il suffit d’avoir un coin de jardin aménagé ou quelques pots de terre sur votre balcon pour donner une seconde vie à ces végétaux. Avant d’en composter les noyaux ou tronçons, essayez ces quelques techniques. Bio ou non-bio? D’après mon expérience, les légumes biologiques repoussent plus facilement et sont plus savoureux lors de leur seconde vie.

Les oignons verts

La technique de l’eau: Ce sont les plus faciles à faire repousser, même si vous n’avez pas le pouce vert! En revenant des courses, il suffit de les mettre dans un verre avec un fond d’eau, juste assez pour couvrir les racines. Avec des ciseaux, je coupe la quantité nécessaire lorsque je fais une recette, et je laisse les racines tremper dans l’eau, que je change tous les deux ou trois jours. Au bout d’une semaine, l’oignon vert a repoussé! Avec cette méthode, ils repoussent jusqu’à cinq fois. Dans la terre: On peut également mettre les oignons verts achetés à l’épicerie en terre! Personnellement, je recommande de laisser les racines dans l’eau pendant une semaine, et lorsqu’elles sont plus longues, on peut les transférer en terre.

L’avocat

Lorsqu’on achète un avocat à l’épicerie, on peut utiliser le noyau pour faire germer une nouvelle pousse! Le processus demande de la patience et de la minutie, mais le résultat est flamboyant. Pour commencer, il suffit de récupérer le noyau et de le nettoyer. Puis, on y insère quatre cure-dent ou brochettes de bois de manière à former une croix. On place le noyau d’avocat dans un petit récipient d’eau, en laissant la partie pointue hors de l’eau. Il est important de changer l’eau tous les deux ou trois jours pour éviter qu’il ne moisisse. Après quelques semaines, le noyau commence à se percer laissant place à une pousse! C’est maintenant le moment de le mettre en pot, en laissant dépasser de la terre la partie du noyau qui était en dehors de l’eau. Placez la plante sur le bord d’une fenêtre ou en plein soleil! Il ne faudra pas oublier de placer l’arbre à l’intérieur pour l’hiver. Il faut compter plusieurs années avant que l’arbre atteigne la maturité avec le climat du Québec.

Légumes à feuilles

Plusieurs légumes à feuilles peuvent repousser avec la technique de l’eau ou dans la terre. C’est le cas des cœurs de laitue, le céleri, le poireau et ainsi de suite. Certains légumes proviennent de la culture hydroponique et c’est souvent le cas pour la laitue Boston. On peut remarquer ses longues racines lorsqu’on l’achète! Celles-ci repoussent encore plus facilement.

Les carottes

Les fanes de carottes sont délicieuses dans les salades et de nombreuses recettes. Pour en avoir régulièrement sous la main, il suffit de mettre les tronçons de carottes dans un peu d’eau, que l’on change tous les deux ou trois jours, pour constater la magie! Après quelque temps, on peut les mettre en terre et cultiver les fanes lorsqu’on en a besoin, et ce, tout au long de l’été!

Le basilic

Il y a quelque temps, j’ai cassé une branche de mon plan de basilic par accident. En mettant son extrémité dans l’eau pendant deux semaines, des racines ont poussé, puis nous l’avons transplanté dans la terre. Depuis, un nouveau plan de basilic pousse sous le soleil de mes grandes fenêtres et nous le planterons dans le jardin lorsque l’été arrivera! Une foule de légumes, aromates et fruits peuvent repousser simplement en les mettant dans de l’eau ou de la terre. Avant de jeter les retailles d’un légume au compost, vérifiez s’il existe une technique pour le faire repousser. En plus d’obtenir de magnifiques plantes gratuitement, vous profiterez d’un aliment frais et cultivé à la maison!

Par Vicky Payeur

La période des Fêtes est souvent synonyme de gaspillage alimentaire. Entre les différents repas en famille, les absences prolongées loin de la maison et les énormes portions dans les assiettes, il y a de quoi s’inquiéter quand vient le moment de regarder le contenu des poubelles. Cette année, bien que les célébrations seront moins nombreuses et accueilleront moins d’invités, nous mangerons encore trois repas par jour. C’est tout autant d’occasions de mieux consommer! Depuis que je prends conscience de tout le travail nécessaire pour obtenir les aliments qui se vendent à l’épicerie, je m’assure de profiter pleinement de la nourriture que j’ai. Ma motivation, c’est de respecter toutes les personnes qui l’ont cultivée, transportée, transformée et mise sur les tablettes. Sans parler des ressources qui ont été utilisées! C’est ma façon de les remercier. Avec les années, j’ai appris à consommer moins, mais mieux, de manière à profiter pleinement des produits que j’achète et à minimiser la perte d’aliments. Aujourd’hui, je partage avec vous mes meilleurs trucs afin de vous inspirer pendant les Fêtes!

Réduire, ça commence à la maison

Avant de quitter mon appartement pour quelques jours, je vérifie toujours le contenu de mon réfrigérateur. Tous les aliments qui risquent de passer date durant mon absence sont placés dans des contenants au congélateur. C’est aussi simple, par exemple, que de couper en bâtonnets son céleri pour le mettre dans une future sauce à spaghetti. Aussi, lorsque la situation s’y prête, j’apporte quelques ingrédients de mon frigo. Les légumes frais et les fromages sont parfaits pour préparer un plateau d’entrées lors des célébrations. Les restants de jus de fruits, quant à eux, sont parfaits pour les punchs ou les sangrias. Mieux vaut les apporter que de les gaspiller!

Deux petites assiettes valent mieux qu’une!

Je ne m’en cacherai pas : j’ai un petit appétit! Souvent, les assiettes qui me sont servies lors des soupers sont trop copieuses pour moi. Donc, je m’assure toujours d’informer la personne qui fait le service de me préparer une assiette plus petite, au risque de me resservir. Aussi simple que ça! De cette façon, on mange la portion adaptée à notre appétit et on ne risque pas de jeter une portion de délicieux repas des Fêtes à la poubelle.

Offrir les restants de buffet en cadeau

La période des Fêtes est aussi un moment pour aider les plus démunis et redonner à la communauté. Dans chaque ville se trouvent des centres d’accueil, des salons communautaires ou des organismes qui aident des personnes dans le besoin et qui prennent toutes sortes de dons, comme de la nourriture! Plutôt que de gaspiller de la nourriture, faites-en profiter quelqu’un d’autre. Vous lui apporterez un peu de chaleur pour Noël!

Congeler les restes

J’ai tendance à prévoir plus de portions lorsque je prépare un repas, et particulièrement pendant les Fêtes, quand l’abondance est au rendez-vous! Pour éviter de manger les mêmes restants pendant toute une semaine, j’en congèle une bonne partie. Ainsi, je peux profiter des saveurs des Fêtes durant tout le mois de janvier, sans gaspiller! Avoir des réserves de nourriture réconfortante pour commencer les longs mois d’hiver me fait du bien.

Repas maison à emporter

Dans les dernières années, j’ai pris l’habitude de me déplacer avec des contenants propres dans mon sac. Ils me sont souvent utiles pour apporter chez moi mon reste d’assiette du restaurant, une part de gâteau après un souper ou une viennoiserie de la boulangerie. En plus de réduire l’utilisation de plastique à usage unique, cette habitude réduit le gaspillage alimentaire. Lors des repas de Noël, je propose de rapporter les portions restantes lorsque je m’aperçois que mon hôte a l’intention de les jeter. Un restant de purée de pommes de terre, des crudités, des légumes cuits ou un morceau de dessert sont ainsi sauvés des décharges! Entre vous et moi, ceux qui ont cuisiné le repas sont toujours heureux de voir que leurs mets seront mangés plutôt que jetés. Cette idée ne s’applique pas à tous les contextes ni à toutes les maisonnées, car il est peu conventionnel d’agir ainsi. Cependant, je lance l’idée! Peut-être qu’une discussion sur le gaspillage alimentaire pendant le souper vous permettra de prendre le pouls pour une prochaine fois.

Essayer, un repas à la fois!

C’est sans oublier que les Fêtes, c’est fait pour profiter, s’amuser et relaxer. Si vous le souhaitez, faites du mieux que vous le pouvez pour éviter de gaspiller. S’il y a une chose que j’ai apprise avec le temps, c’est qu’il ne faut pas s’imposer la perfection. Allez à votre rythme et selon votre réalité, et vous pourrez en être récompensé. Joyeuses Fêtes! Par Audrey Sckoropad Nous sommes au cœur de la saison froide, qui est aussi celle du rhume et de la grippe. Il est donc important de miser sur nos défenses et notre système immunitaire et de désintoxiquer notre organisme afin d’éviter ces inconforts. De plus, nous avons souvent recours à des antibiotiques qui ne sont pas nécessaires dans le cas du rhume et de la grippe, comme ils sont causés par des virus et non des bactéries. Lorsqu’ils sont utilisés trop fréquemment, les antibiotiques peuvent causer des troubles et des dommages au système digestif. Voilà pourquoi il vaut mieux agir à l’avance pour optimiser notre santé immunitaire. Pour ce faire, voici quelques astuces

1. Intégrer des probiotiques

Une des meilleures manières de prévenir les infections virales est d’assurer la santé de notre système digestif, soit notre flore intestinale. Certaines études ont démontré que les enfants qui prenaient une combinaison de probiotiques et de vitamine C de manière quotidienne avaient moins d’épisodes de rhume et de grippe. Il existe différentes options de probiotiques, tant pour les adultes que pour les enfants. Mon coup de cœur : les produits Bio-K.

2. Éviter les aliments immunosuppresseurs.

Café, sucre blanc, alcool et aliments riches en gras saturés sont tous des éléments qui contribuent à diminuer les défenses du système immunitaire. Un excès en aliments gras et transformés peut compromettre le système lymphatique, limitant ainsi la capacité du corps à combattre l’infection.

3. Préconiser les aliments complets et riches en nutriments.

En ce qui concerne votre santé immunitaire, rien ne remplace une bonne alimentation! Il est important de s’assurer d’avoir une alimentation saine en mangeant une grande variété de fruits et légumes, qui constituent les principales sources de vitamines et de minéraux. Vous bénéficierez ainsi d’une vaste gamme de nutriments. Visez cinq à sept portions de légumes et fruits par jour. J’aime m’assurer d’en consommer suffisamment grâce à mes smoothies.

4. Apprendre à gérer son stress

Le stress fait partie des principaux suppresseurs immunitaires. Pour mieux le gérer, vous pouvez penser à la méditation, au yoga, à l’acupuncture ou aux promenades en nature. Pour moi, rien de mieux que de prendre un bain aux sels aromatisés aux huiles essentielles avec un bon livre pour me détendre.

5. Passer du temps en nature.

En plus de contribuer à réduire votre stress, une marche en forêt (surtout lors d’une journée ensoleillée) augmentera vos niveaux de vitamine D. La vitamine D renforce la capacité du système immunitaire à reconnaître et à combattre les agents pathogènes, en particulier l’influenza (qui cause la grippe) et les infections des voies respiratoires. Puisque les journées sont plus courtes en hiver au Québec, il est favorable d’opter pour un supplément en vitamine D.

6. S’hydrater adéquatement.

N’oubliez pas vos fluides. Une bonne hydratation joue un rôle essentiel pour protéger votre corps contre les virus. En effet, nous avons besoin d’environ 1 L d’eau pour chaque 22 kg. Si vous n’aimez pas boire autant d’eau, augmentez votre consommation de tisanes et de jus de légumes verts. N’oubliez pas que le café, le thé et l’alcool ont un effet diurétique, alors ne les comptez pas dans votre consommation d’eau. Vous pouvez aussi ajouter du citron frais ou des petits fruits, du gingembre et de la menthe verte à l’eau pour la rendre plus savoureuse et plus riche en antioxydants, et pour lui donner un effet détox!

7. Faire le ménage, ou la détox!

Notre santé passe trop souvent au second plan : manque de sommeil et d’activité physique, excès de malbouffe, stress élevé, manque de temps pour soi, etc. Une détox peut vous aider à rééquilibrer votre organisme et à réévaluer votre mode de vie. Le mot détox peut faire peur à certains. Toutefois, il existe différents types de détox, qui ne sont pas nécessairement restrictifs. Une détox peut aussi bien prendre la forme de jus ou de smoothies que d’une pause des réseaux sociaux, d’aliments complets et non transformés ou d’exercices de respiration profonde. Il peut aussi s’agir de s’accorder 7 à 8 heures de sommeil chaque nuit, de faire plus d’exercice et de favoriser son estime de soi. Tout cela pour ramener votre corps et votre esprit à un meilleur équilibre.

8. Recourir à des suppléments naturels.

Recherchez un supplément de qualité avec une teneur élevée en vitamines A, C et D et en zinc, tous sous leurs formes biodisponibles. Les antioxydants (flavonoïdes), le sureau, l’échinacée, les bêta-glucanes, les champignons médicinaux, l’ail, la lysine, la feuille d’olivier et la sauge sont également d’incroyables antiviraux.